Fédération de la jeunesse canadienne française

FJCF

La Fédération de la jeunesse canadienne-française est composée de onze membres associatifs jeunesse de neuf provinces et deux territoires. Elle contribue au développement socio-culturel et identitaire des jeunes canadien•nes d’expression française âgé•es entre 14 et 25 ans par le biais de programmes d’emploi jeunesse et d’évènements pancanadiens.

La FJCF est responsable des initiatives pour la valorisation des accents (Franco-Rebelles et Le Téléphone) et des panels « confiance, résilience et fierté : l’avenir de la sécurité linguistique ».

La première initiative pour la valorisation des accents a été fait en partenariat avec le ministère du Patrimoine canadien, l’ACELF et l’ACUFC. La deuxième avec les membres du Groupe de travail en sécurité linguistique et le financement du ministère du Patrimoine canadien.

  

Campagnes Franco-Rebelles et Le téléphone

Une campagne de valorisation des accents, réalisée par Julien Robichaud, cinéaste acadien. La campagne de promotion se décline en deux volets. « Le Téléphone » est une série de courtes capsules web présentant des expressions francophones à travers le pays. Le lancement a eu lieu en mai 2021. 

Le second volet est une web série de cinq épisodes où des co-animateurs parcourent le Canada à la rencontre de jeunes d’expression française. La série se nomme « Franco-Rebelles » et a été lancée en septembre 2021.

Panels « confiance, résilience et fierté : l’avenir de la sécurité linguistique »

Une série de quatre panels de discussions avec des partenaires, des jeunes et des experts dans les quatre domaines d’intervention de la Stratégie nationale pour la sécurité linguistique: l’éducation, le marché du travail, la culture et les médias, puis les politiques publiques. La série a été diffusée tous les mardis du mois de mars 2021, dans le cadre du Mois de la Francophonie, sur la page Facebook et la chaîne YouTube de la FJCF. Ces panels ont permis de favoriser les discussions et la diffusion de solutions novatrices afin d’assurer la confiance linguistique des locuteurs et locutrices d’expression française du pays, et ce de manière intersectorielle et intergénérationnelle.